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Les textes des élèves du LP Roland Garros Toulouse

8 juin 2012

La chute

 Je me souviens, quand j'étais petite, j'avais 7 ans, je jouais chez mon grand-père dehors avec mon frère. Il faisait beau, c'était les vacances d'été. J'adorais aller jouer dans son jardin car il y avait des fleurs de toutes les couleurs, l'odeur de ces fleurs était vraiment agréable. Nous étions en train de jouer avec mon frère quand, sans le faire exprès, il m'a poussé.

 Je suis tombée par terre sur les marches qui étaient devant la porte d'entrée de la maison. Sur le moment je n'ai pas pleuré c'est après quand j'ai senti la douleur. A cause de cette chute je me suis cassée les deux dents de devant et cela me faisait très mal. J'étais debout malgré la douleur. Mon frère a appelé ma mère qui était dans la cuisine avec mon grand-père. Elle est tout de suite venue me voir et a arrangé ça. Elle m'a soignée en me nettoyant la bouche et m'a fait un câlin. La douleur était moins forte mais elle était encore présente. Puis on a ensuite continué à jouer dans le jardin mais plus prudemment et ma grand-mère nous a fait le gâteau que j'adorais. Il était à la vanille mais même si il était simple, c'était le meilleur gâteau à la vanille que j'avais jamais goûté.

Magalie Loubet 2°CO

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4 juin 2012

Un beau voyage

C e début d’été n’était pas comme les autres, non celui-ci était particulier. Son soleil était plus beau, son ciel était plus bleu et sa température plus clémente.

Vers le 15 juillet,  mon père m’annonça que l’on allait partir en vacances le lendemain.

Très content et excité, je fis ma valise et la mis dans la voiture.

Voici le jour du départ, tout le monde en voiture c’est l’heure de partir, la route allait être longue. Nous partîmes très tôt le matin, vers quatre heures pour éviter la chaleur de l’Espagne.

Nous entamions notre route avec la hâte d’arriver sur place très rapidement pour commencer à profiter de nos vacances.

Apres onze heures de route nous sommes enfin arrivés à Almeria, ville portuaire d’Espagne où nous devions prendre le bateau.

Malgré la rapidité du voyage il n’y a plus de place dans le bateau: il faut attendre celui du lendemain.

Vingt-quatre heures à attendre et rien à faire!

Je suis parti visiter Almeria, c’est une ville qui m’a marqué, avec de très belles plages, de très beaux ports. C’est un petit coin de paradis.

Elle m'a vraiment  plu, je ne regrette pas d’avoir raté le bateau.

4 juin 2012

Première rencontre

Il y a deux ans et 4 mois de cela, j’ai rencontré une personne plus que merveilleuse. Au début, c’était juste une connaissance, jamais je n’aurais pu penser que ce jeune homme prendrait autant de place dans ma vie.

Mon cousin nous avait invités, ma famille et moi, à manger chez lui le 1er novembre 2009. Dès mon arrivée, j’ai croisé son regard, il était beau, charmant. Il était assis au salon, j’ai donc dû traverser le couloir pour lui dire bonjour. Je sentais une chaleur monter en moi, mon cœur battait de plus en plus fort, je ne contrôlais plus mes faits et gestes.

Cette soirée fut forte en émotions. Les regards s’échangeaient, même si, on n’a pas parlé ou presque pas.

Nous nous sommes revus par la suite. Mais nous n’étions pas seuls car il y avait nos sœurs.

Le 12 février 2010, il neigeait. Le matin j’avais fait le compte rendu du stage que j’avais effectué quelques mois avant puis je suis rentrée chez moi. Je suis allée faire un tour sur msn et ... il était connecté, coïncidence… Je suis donc allée lui parler. Je ne pensais pas qu’il soit aussi timide néanmoins on est arrivé à parler de nous deux. J’étais contente, la sensation de notre première rencontre refaisait surface je ne sais comment, je sautais de joie.

Le lendemain il a fait 245 kilomètres pour venir me voir, ce jour est inoubliable, on s’est embrassé pour la première fois. Il est resté une heure à mes côtés et pourtant on aurait dit que cela avait duré seulement quelques minutes. À son départ, je ne voulais plus le laisser partir.

Fernandes

Patricia

2°CO

21 mai 2012

Souvenir du collège

J’étais en classe de 6ème, au collège Marengo. Il y avait un « concours » avec toutes les classes du collège. Les deux classes ayant le moins de retards, d’heures de retenues, de mots dans le carnet, gagnaient une journée à Walibi ! Dans le hall du collège, il y avait un tableau où étaient écrites toutes les informations (réunions des délégués, absences des professeurs…) et il y avait inscrit les classes (des 6èmes aux 3èmes) avec un classement. Tous les jours, tous les élèves surveillaient le classement, y compris moi.

Moi, j’étais en en 6°3, et nous étions les derniers de tout le collège. Puis, au dernier moment, nous remontâmes dans le classement. Et à notre grand plaisir, nous sommes arrivés premiers !! Nous étions heureux. Nous avons criés de joie, on sautait, on rigolait… C’était merveilleux ! Nous avions gagné la journée à Walibi avec les 4°2. Quel bonheur ! C’était une belle journée du mois de juin, ensoleillée, chaude, superbe !

Nous partîmes le matin à huit heures en car, l’ambiance était festive, joyeuse,  les élèves étaient excités. Nous étions dans le car avec les 4°2 et des surveillants. On nous avait demandé de prendre un pique-nique pour le midi.

J’étais excitée à l’idée d’aller dans un parc d’attractions aquatiques. Il y avait des attractions « normales », et d’autres avec de l’eau. Ce fut une des meilleures journées de ma vie. Tout était parfait : le jour, le temps, les températures, l’ambiance.

Nous avons fait quasiment toutes les attractions, sauf celles qui étaient fermées.

Nous sommes rentrés à Toulouse vers 19 heures.

Je me souviendrai toujours de cette journée !

AZZENA Mandy

2°CO

 

26 avril 2012

La brûlure

Il s’agit d’un souvenir très triste, inoubliable qui reste gravé dans mon cœur. Quand j’étais petite, à l’âge de 5 ans, il y avait de l’eau sur la plaque à réchaud et c’était très chaud. Moi je ne savais pas et je l’ai touchée. Elle s’est renversée sur mon bras. J’avais une chemise blanche en tricot à manches longues. J’ai crié, en pleurant je me suis couchée par terre. Je commence à tournais tout au tour de la maison, toujours par terre. Ma mère est venue me voir, mais c’était déjà trop tard.

Quand elle m’a enlevé la chemise, il y avait la peau de mon corps qui était collée dans la chemise. Directement elle m’amenée à l’hôpital. C’était en Afrique dans une pédiatrie. On m’a mis une pommade et donné des médicaments pour calmer la douleur. Jusqu’à maintenant j’ai la cicatrice sur mon bras; quand je la regarde ça me donne envie de pleurer. Cela me rend triste d’avoir mon bras droit qui est bien et le gauche avec une cicatrice. C’est un mauvais souvenir que j’ai vécu dans mon enfance, ça me fait très mal au cœur. Je montrerai à mes enfants ce que j’ai vécu dans mon enfance !

Comme c’est un souvenir très triste, je n’avais pas envie de prendre des photos si non j’allais commence à pleurer tout le temps.

Je ne regarde même pas mon bras gauche. J’ai vécu ça à l’âge de 5 ans, maintenant j’ai 17 ans et demi, j’ai toujours la cicatrice tout au tour de mon bras, j’ai honte de porter même un chemise manche courte. Je glorifie Dieu parce que l’eau s’est renversée sur mon bras, pas sur ma figure !

R.P.

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24 avril 2012

Mes grands-parents

Je me rappelle, il y a longtemps, d’une douce sensation de bien être lorsque je voyais mes grands parents en arrivant du collège.Cet attachement est si fort entre eux et moi depuis ma naissance car j’allais souvent chez eux pendant les vacances ou les week-ends.

Quand j’arrivais chez eux et que je sortais de la petite clio rouge je sentais une sensation de soulagement et d’apaisement quand je respirais l’air de la campagne, cette douce brise frais qui caressait mon visage. Quand je rentrais dans leur maison, il y avait toujours cette odeur de cigare goût vanille que mon papy fumait et l’odeur du bois entrain de brûler.

Mais le moment que j’aimais par-dessus tout c’étais le mercredi lorsqu’ils étaient chez moi. D’abord le bus dans lequel j’étais passait devant chez moi et j’apercevais alors devant mon portail la petite clio rouge de mon papy. A ce moment-là mon cœur palpitait de plus en plus fort à l’idée de voir en ouvrant la porte de mon salon, les yeux doux de ma mamie et le sourire qui se dessinait sur leurs lèvres en me voyant. En pensant à toutes ces choses sur le chemin qui reliait l’arrêt de bus à ma maison je me mettais à marcher de plus en plus vite, en arrivant chez moi je poussais la porte de chez moi afin d’aller les embrasser. C’était un soulagement.

TOUCHARD
Kelly
2CO

24 avril 2012

Douceurs d'enfance

Souvenir d'enfance


Je me rappelle lorsque j'étais enfant tous les jours, sans exception,

mes parents m'achetaient des bonbons après l’école.
Quand j'entendais la sonnerie de 17 h je m'en léchais déjà les babines.
C'est le goût du sucré que je voulais, c'était comme une addiction mais tellement bon.
J'adorais toutes sortes de friandises, mais mes préférées étaient de loin les Dragibus.

Pourtant on dit souvent que trop de bonbons provoquent des douleurs aux dents,
déjà que je ne me souciais de rien alors c’était vraiment le dernier de mes soucis .

Désormais, les sucreries n'ont plus le même goût pour moi. Il me suffit d'en prendre une
et un mal aux dents persiste, mais je vendrais mon âme pour le retrouver !
E.M.


12 avril 2011

Retour vers le futur

 

Il était une fois un petit garçon bleu qui jouait avec un ballon carré. Il l’avait trouvé dans un entrepôt abandonné.

Depuis que le garçon avait trouvé ce ballon, il était heureux et souriait à longueur de journée. Mais ce ballon n’était pas ordinaire. Il permettait de voyager dans le temps, si on jouait avec d’une manière précise.

Le garçon joua avec et réussit à retourner dans le temps à l’époque des dinosaures.

Surpris et impressionné, le garçon explora la zone et tomba sur un T-REX.

Impressionné par tous ces dinosaures, le garçon joua d’un geste précis au ballon et partit dans le futur.

Le garçon n’en croyait pas ses yeux : des voitures volantes, des affiches publicitaires où l’on pouvait s’inviter à l’intérieur, des fêtes foraines volantes, des chiens promenés par leur laisse, des bâtiments qui étaient des restaurants et qui se transformaient en hôtel la nuit.

Le petit garçon se sentit heureux dans ce monde et décida d’y rester.

2PL    Ecriture à plusieurs mains, finalisée par Hlifi Aymane 

17/01/11

12 avril 2011

L'espion

 Dans la forêt, je marchais tranquillement quand soudain j’entendis un drôle de bruit suivi d’une explosion. Je me jetai à terre. Quelques instants après, je relevai la tête. Au-dessus des sapins et des chênes, je vis de la fumée. Je me dirigeai vers elle. Après quelques minutes de marche, je trouvai un avion qui s’était écrasé. Une fois proche, je vis qu’il y n’y avait personne à l’intérieur. Après avoir fait le tour de l’appareil, je découvris des traces de sang qui menaient dans le sous-bois. Je les suivis quelques mètres et vis un homme allongé dans les feuilles mortes. Je n’avais aucun moyen d’appeler les secours. Je lui posais des questions mais il ne répondait pas. J’ai crû qu’il était mort. Au moment de partir pour aller chercher les secours, il me demanda de l’aider à se mettre à l’abri dans une petite grotte. Il m’expliqua ce qui c’était passé : il était parti en reconnaissance pour chercher des terroristes mais ils avaient compris que c’était un espion et ils lui avaient tiré dessus.

Il pris son tee-shirt et se fit un garrot à la jambe, puis il me demanda d’aller chercher les secours.

Ecriture à plusieurs mains, finalisée par Amaré Mathieu

2TO

9 avril 2011

Congo

 Histoire, paix, travail, assassinat, mort, rigueur, dormir, ...

 

Le monde d’aujourd’hui est un monde rempli de haine, de violence,

 

On peut tuer quelqu’un ou se donner la mort, commettre un vol,

 

La cruauté a monté au front.

 

Cela me rappelle mon père, il a réussi à s'intégrer au sein de l'armée nationale, mais il nous disait souvent que dans l'armée,  il y avait du tribalisme. Il n’y a qu’une tribu qui a de bons postes, de bonnes fonctions. Même si vous avez le même niveau d’études ou que vous le dépassez, ils ont toujours de l’influence sur les autres, parce qu’ils font partie de la tribu dirigeante.

Malgré tout cela, mon père était animé d’une courage exceptionnel, apprécié par sa hiérarchie  mais le tribalisme battait son plein et a tout gâché : la bonne entente , l’unité qui régnaient au sein de l’armée ont disparu et la violence a gagné du terrain jusqu’à l’assassinat de mon père parce qu’il n’appartenait pas à la tribu dirigeante, c’était horrible, vraiment inimaginable .

 

Lingala                                

2 TO Lycée Roland GarrosToulouse

le 24 / 01 / 2011

 

 

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